Souvent les personnes souffrant d’une diastase peuvent ressentir ce genre de « symptomes » :
Il n’est jamais trop tard pour refermer une diastase. Cela pourra peut-être prendre plus de temps (mais pas forcément). Il est important de retenir que la diastase peut être fermée à tout âge.
En règle générale, les gynécologues, les sages-femmes ou les kinésithérapeutes spécialisés en post-partum sont susceptibles de détecter une diastase. Cependant, dans la plupart des cas, la méthode d’évaluation n’est pas toujours réalisée correctement : en effet, le contrôle est souvent effectué alors que la chaîne abdominale est contractée, ce qui fausse le résultat et peut en minimiser l’importance.
L’idéal est de faire évaluer sa diastase par une spécialiste de la Tupler Technique.
Il est vrai que certains cas nécessitent une intervention chirurgicale. Toutefois, il est toujours préférable d’entreprendre une rééducation de la diastase avant toute opération. Ensuite, si la fermeture complète n’est pas possible — en raison de tissus conjonctifs trop endommagés ou de la présence d’hernies — une chirurgie (comme la pose d’un filet ou une abdominoplastie) pourra alors être envisagée.
Aucune différence, le programme de la Tupler Technique est le même. Et je rappelle qu’il n’est jamais trop tard pour refermer une diastase. Cela pourra peut-être prendre plus de temps (mais pas forcément). L’important à retenir, c’est qu’une diastase peut être refermée à tout âge.
D’après mon expérience, au cours de ces cinq dernières années, j’ai rencontré de nombreuses femmes qui n’avaient aucune idée de ce qu’était la diastase. Malheureusement, elles ont continué à vivre avec cet inconfort — non seulement physique, mais aussi émotionnel. Car notre centre (le core, en anglais) est tout de même notre trait d’union entre le haut et le bas de notre corps.
Plusieurs femmes m’ont confié qu’une fois leur diastase refermée, elles recommençaient à ressentir des sensations qu’elles avaient oubliées. Cela génère évidemment un profond sentiment d’équilibre et de bien-être.
J’ai beaucoup de plaisir à accompagner les femmes qui viennent avec le désir de se « retrouver » et pas que d’un point de vue esthétique mais vraiment pour se reconnecter à soi. Et ça va au-delà de l’aspect physique mais vraiment sur le côté de tout simplement « se retrouver », « se recentrer », « ressentir ».
Mon rôle est de les encourager, les motiver cependant le « travail de rééducation » doit être fait par elles-mêmes. Elles doivent faire preuve de discipline et de rigueur mais elles ne sont jamais seules. Je les accompagne jusqu’à la fin du programme.